Musique du réel, qui se donne ici, tout au moins une part de lui, à entendre (et voir) débarrassé de nos filtres, de nos pensées, jugements, fausses visions, certes par le moyen d’une médiation qui ne perd pas sa subjectivité, mais qui se laisse traverser tout entière (médiation d’ailleurs multiple, ceci dit pour souligner le formidable travail accompli pour la réalisation de cet album). Nous pourrions l’appeler musique de « l’entre-monde », non pas un ail… mais je manque de place pour continuer