La description ne ment pas en précisant que cet album, reconnu par la majorité des amateurs, est un des plus influant du DSBM. Aussi percutant qu'une "Agonie d'Agapè" de William Gaddis ou le testament/manifeste de Stieg Dagerman : tout est cohérent, les paroles, le chant, les compositions coulent naturellement comme le courant d'un petit ruisseaux d'une forêt oubliée dont on ne sait pas où il débouchera.